« Le sang, encore du sang, que du sang, du sang partout. La vie n'est que le sang, le liquide rouge qui coule entre nos mains depuis si longtemps, quel que soit notre époque, quel que soit notre monde, quel que soit notre race, le sang est présent, à la naissance, lorsque nous sortons du ventre de notre mère, à l'enfance, quand nous nous blessons, à l'adolescence, quand nous combattons, à l'âge début d'adulte, lorsqu'on commet un meurtre, à l'âge d'adulte, ayant prit gout à la mort, à l'âge ancien, quand nous savons que notre fin est proche, et à notre mort, quand on nous assassine, y a-t-il un moment où elle nous lâche ? »

La vie commence toujours par un éveille, un éveille que certains veulent, d'autres le nient, et les gens comme moi le déteste, nous naissons tous d'un amour entre mère et père, je pensais moi être l'une de ses nombreuses personnes à être éveillé par cet amour fabuleux et emplis de bonheur, au début je pouvais y croire, y espérer, mais très vite l'amour que j'attendais était devenu le pire des cauchemars, car tout a un début, le mien commença à mes 7 ans. J'étais encore petite a cet âge là, je ne comprenais pas le danger du feu...



Je fixais mes parents, les deux au sol, je pensais qu'ils dormaient, comme il le faisait tous les soir à cette heure là, le feu jaillissait, la maison brûlait, et moi, seul, je ne m'apercevais pas que le feu s'approchait de moi, et pire, qu'il était dangereux, je remuais alors ma mère, je voulais lui dire que dormir par terre n'étais pas bien, qu'il leur fallait aller dormir dans leur lit, et, j'avais beau les remué, ils se taisaient, comme ci ils ne répondraient jamais, qu'ils étaient montés, en réalité, sans m'apercevoir, je remuais l'une des dernières choses de mes parents, leurs corps. Soudain, je sentis quelqu'un entrer, c'était mon frère, mon tendre frère, toujours là pour moi, il me prit contre lui, je pensais qu'il me faisait un câlin comme toujours, mais il pleurait. Il nous relevâmes et partit de la maison, c'est quand une poutre tomba que je sentis le danger des flammes, sortant de l'immense manoir j'hurlais..



J'avais beau crier, hurler, pleurer, il restait la devant le manoir enflammé, je fixais l'épave progressivement couler sur lui-même, dévoré par les flammes, je pleurais, hurlant, l'agonie, je savais maintenant ce que voulait dire Papa quand il disait que le plus triste ce n'est pas de mourir, mais de perdre une vie. Je venais de perdre mon père et ma mère, j'étais maintenant seul avec mon frère, je me blottis contre lui, pleurant les larmes de mon corps, ne pouvant m'arrêter...


Le rêve était atroce, chaque soir, je faisais toujours le même rêve, et ce depuis ce jour où les flammes ont détruit le manoir, semblerait-il que mes parents ne veulent pas que je les oublie en me faisant voir ce jour ? J'avais mal, si mal, j'en faisais des fois des nuits blanches, je ne pouvais plus tenir, l'atrocité m'envahissais, la peur me terrifiait, les douleurs me poursuivaient. Les jours, les mois, les années étaient passées, certaines fois j'eu des troubles de mémoire, je n'en pouvais plus, serais-je devenu fou ? Un passé horrible par la dévastation. Mon frère et moi-même étions allés à Vergazon pour le début, c'était à mes 10 ans qu'on finit par aller à Verchamps. Il m'aida à obtenir mon premier Pokemon, se fut un mignon Growlythe dont la couleur fut si étrangement doré, avec lui je pus capturer un autre Pokemon...

La journée avait bien commencé, accompagné de mon frère, nous nous baladions en direction de Rivamar, enjoy, c'était pour moi un jour génial, mon frère m'avait dit que dans cette ville demeurait mon Oncle, le seul reste de notre famille, pressé, je me mis a courir rapidement, accompagné de mon Growlythe dans sa Pokeball, soudain je me stoppais, voyant un mignon petit Pokemon, un que j'avais déjà vu au manoir familiale, le manoir de ma famille, je m'arrêtais, fixant le drôle de Pokemon, mon frère s'approcha, souriant, je le regardais alors.



C'était mon premier Combat, j'étais décidé, avoir ce Taillow, ainsi, enthousiasme je lançais mon Growlythe, j'étais près, ordonnant mon Growlythe sur Charge, quelques fois lui ordonnant un Mini-queue afin qu'il fasse des attaques plus efficaces, le combat se déroulait, j'étais près à tout contrer, fronçant les sourcils afin de mieux me concentrer, je savais que ce combat était celui qui déterminerait mon niveau, mais j'étais près a tout pour mon frère, vraiment, je voulais lui montrer que j'étais capable de combattre, sortant la Pokeball qu'il m'avait donné pour le début, près, attentif, c'était maintenant ou jamais.



Dis-je en lançant la Pokeball déterminé, je fixais la ball avec tension, je ne devais pas échouer, je devais réussir, mon Growlythe la fixait aussi, soudain la couleur disparu, je la regardais, étonné, mon frère se mit à applaudir. Je me tournais vers lui, interloqué, c'est alors que je compris, j'avais réussi, je fermais mes yeux, heureux, puis sauta contre mon frère, le Growlythe, lui, pris en bouche la ball pour me l'apporter, des larmes me coulaient du visage, j'étais si heureux, j'avais prouvé à mon frère qui je suis, un futur dresseur.


Les années avaient passé, 13 ans et 5 mois, pendant ce temps passé j'avais eu si peur que je m'étais mis à penser à mon passé. Pendant des années je me suis entraîné avec mon frère, j'étais devenu plus fort, mon équipe formait maintenant trois pokemon, dont Taillow que je n'utilisais pas, il y avait Treecko, un voyageur me l'avait donné, et puis mon Growlythe, au fond je réalisais que j'avais deux types feu, je pensais bien reprendre les traces de mon frère, et de venir peut être champion d'arène, mais avec les types Feu, c'était mon élément. Quelques jours avant, mon frère me parla de Rivamar, j'allais enfin pouvoir voir cette fameuse ville dont me parlait mon frère, il y paraissait qu'avant que le manoir ne brûle, mon père connaissait le champion. Ainsi nous avancions en ville, je fixais la ball du Taillow puis fini par la lancer, je souris à mon frère qui me rendit celui-ci puis tendis ma main vers le Taillow, il semblait me haïr, je soupirais et commençais à avancer, je fus pressé, je voulais voir la ville de l'ami de papa. Le sol était assez fait de terre, recouvert principalement de plaque de béton afin de laisser les gens passer, il n'y avait pas d'herbe, et la ville faisait assez désertique. Nous arrivâmes enfin devant l'immense statue, je la fixais longuement, on aurait dit un tas de ruine en poussière, comme un château de sable dont la mer a adoucie et détruit par le passage de l'eau salé dessus. Je soupirais, fixant la grande statue fantôme, fermant mes yeux, je m'approchais de celle-ci.



C'est ainsi que mon frère se dirigea vers le peuple de notre futur ville, moi, soupirant, j'allais prendre place dans un coin d'herbe, souriant à mon très cher Growlythe, le jeune Taillow lui continuais sans arrêt de me faire la moue, mes longs soupires, faisant ressentir un ennuie profond, fit réveillé Growlythe qui manquait de peu de tomber de sommeil, le Growlythe se mit a gratter le sol recouvert de poussière restante suite à l'écroulement du passage, j'ouvris mes yeux pour fixer le jeune Pokemon blond dans sa recherche indéterminable, et, quand je me décidais enfin à aider mon frère que je vis dépasser sur sol aride une sorte de magnifique pierre rouge, sursautant, j'aidais alors mon Growlythe à le retirer du sol, il y en avait une seule, plus scintillante que jamais, j'ignorais totalement ce dont ce pouvait être, alors, pris d'extase, je les attrapais et couru vers la statue où mon frère demeurait, hurlant son nom, j'esquivais de peu de tomber juste devant lui, les lui montrant, essoufflé de cette course, je souris juste après les lui avoir donné, rire bête.



Il était vrai que j'étais déçu, selon mon frère Growlythe évoluera lui-même avec la pierre dès que le temps sera venu, ainsi je mis les pierres dans une sacoche, je voulais à tout prix les voir évoluer, bien sûr s'ils le voulaient. Cependant, une chose m'intrigua, pourquoi la ville n'avait pas de chef, pourquoi mon frère devait-il la reprendre? Deux questions qui me tournaient dans la tête. Je retournais alors me promener avec Growlythe et Taillow dans sa balle, fixant le ciel jusqu'à me cogner bêtement contre quelqu'un, tombant sur le derrière en me frottant le front, je levais alors mes yeux en sa direction.



Dis-je puis me mit à rougir, c'était une jeune femme, visiblement des forces de l'ordre, elle m'aida à me relever et me sourit, j'étais plutôt timide, et je n'osais rien faire, soudain, elle me tira vers le phare, je me laissais faire, comme un enfant, je fus guidé dans le phare avec elle, elle y entra, me guida à l'ascenseur et nous montions tout en haut du vieux phare, je fus quelque peu étonné car malgré les dégâts qu'il du subir il tenait encore en place. Il n'y avait personne, elle me guida à la vitre en me disant de regarder, ce que je fis. Je vis alors l'immense statue pokemon légèrement détruire, je fus impressionné, car malgré l'ampleur de la catastrophe, certaines choses tenaient encore debout, je tournais alors ma tête vers elle, venant de comprendre ce qu'elle voulait me dire; ne jamais perdre espoir. Je lui souris gentiment puis on finit par sortir, tous les deux partagions nos identités puis je lui montrais mes 3 pokemons, Growlythe, Taillow et Charmander. Elle me sourit et me parla des surnoms pokemon, sauf que moi je n'avais aucunes idées. Elle me proposa alors d'en trouver tous les deux. Pendant toute la journée nous avons réfléchit et donné une liste incomparable de surnom, ce fut le lendemain qu'elle arriva devant chez moi en me sortant; Mikado. Flash pour nous trois, le Growlythe semblant ravit de ce surnom ce qui rendait heureuse la jeune femme. Ensuite nous avions cherché pour Taillow, elle s'imaginait déjà un beau Swellow, ce qui me fit pensé à Shin'dou. Le dernier, le chamander, ce fut mon frère qui revenant des travaux de restauration nous sortie; March. Les trois surnoms étaient définitivement là. La ville était prête, enfin, mon frère pourrait enfin devenir champion, j'étais devant celle-ci, si fière, même si cette fierter allait pencher, qui aurait pu réaliser se qui allait se passer, un drame. Tandis que mon frère était partit, je trouva une lettre vielle...


Chapitre en cours xD